Soirée de Noël
La soirée de Noël est chaque année pour le Studium l'occasion de retrouver les proches, pour un spectacle suivi d'un dîner festif.
En ce jeudi 15 décembre, Ste Garde s’agite. Est-ce déjà l’heure de faire sa valise et passer un dernier coup de ménage avant de rentrer auprès des siens ? Il ne me semble pas… Depuis ce matin, je ne cesse de croiser des étudiants réciter des monologues en faisant les 100 pas, j’entends des chœurs répéter des chants de Noël entre 2 cours, la salle à manger est décorée, et je viens tout juste d’apercevoir un chariot rempli de costumes passer. Oui ce soir, c’est la fête de Noël du Studium !
Cela faisait quelques jours que les préparations s’intensifiaient et ça y est, c’est le grand jour ! Que ce soit en tant que comédien, choriste, décorateur, serveur, sans oublier plongeur, tous ont contribué à la réussite de l’évènement. La soirée, qui rassemble chaque année le Studium et ses amis, a débuté par la célébration de l’Eucharistie. Ce temps de prière et de communion, nous a permis d’entrer dans la soirée avec un climat familial, paisible et joyeux.
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Elle s’est poursuivie avec la représentation d’une pièce de Fabrice Hadjadj : Massacre des Innocents. Bien que le titre eût de quoi refroidir l’assemblée, je suis sûr que ceux qui étaient présents vous témoigneront de la beauté de ce moment. En effet, grâce à la représentation de cette belle œuvre, et à l’accompagnement de la chorale, le public a pu contempler ce mystère où Dieu s’est fait homme. Mystère d’une crèche qui, nous l’avons perçu, est déjà tournée vers la croix ; car c’est le même Amour qui s’est abaissé pour se faire petit enfant à Bethléem, que celui qui donnera librement sa vie sur la croix.
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La soirée s’est enfin conclue par un repas festif, dans une ambiance chaleureuse. Une fois ce moment de partage terminé, un rangement et une vaisselle efficace ont permis à Ste Garde de retrouver le silence.
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Mais ce n’était que pour mieux se préparer à chanter les louanges du Seigneur lors de la messe de l’attente qui a eu lieu le lendemain matin à 7h00.
"' Dieu tu es mon Dieu je te cherche dès l’aube, mon âme a soif de toi "
Pierre Guérin, séminariste des Missions Etrangères de Paris